Dans San-Telmo, tout près de notre appartement à Buenos Aires, nulle autre que la célèbre Mafalda, attendant quelqu'un avec qui faire un brin de causette.
Quelques jours après que nous soyons revenus à Montréal, j'ai reçu un mystérieux appel téléphonique. Une dame chez Renaud-Bray a laissé un message sur notre boîte vocale m'informant qu'un colis à mon nom m'attendait à la librairie. J'ai été étonnée, mais étant parfois assez distraite, j'ai pensé que ça pouvait être un livre commandé avant mon départ et que j'aurais oublié. Quand même, ça me chipotait pendant que je me rendais là-bas. C'était comme une surprise ou une énigme. - On peut être parfois terriblement enfantins quand on ne comprend pas tout.
Arrivée à la librairie, je me suis dirigée au comptoir des libraires où le fameux colis devait m'être remis. Une dame souriante m'a dit que c'était un cadeau de quelqu'un parti en voyage. C'était un homme dont elle ne se souvenait plus du nom, mais qui fréquentait régulièrement cette librairie. Quand j'ai sorti du sac l'intégral de Mafalda j'ai tout de suite compris que c'était René, reparti pour Bali la veille, qui me faisait une petite surprise avec ce personnage argentin avec qui, d'après lui, j'aurais beaucoup d'affinités. Depuis, je me régale en lisant mon gros livre de Mafalda - et oui je me reconnais dans ce personnage au caractère « bold » - et ainsi je continue de penser à mon ami pendant son absence. René a trouvé la meilleure façon qui soit de se rappeler à moi en me faisant sourire à des milliers de kilomètres de distance. Il est comme ça René, généreux et doué pour se faire aimer.
Anne, émule de Mafalda
Voici deux extraits de « Mafalda, l'intégrale » de Quino, publié chez Glénat.
Arrivée à la librairie, je me suis dirigée au comptoir des libraires où le fameux colis devait m'être remis. Une dame souriante m'a dit que c'était un cadeau de quelqu'un parti en voyage. C'était un homme dont elle ne se souvenait plus du nom, mais qui fréquentait régulièrement cette librairie. Quand j'ai sorti du sac l'intégral de Mafalda j'ai tout de suite compris que c'était René, reparti pour Bali la veille, qui me faisait une petite surprise avec ce personnage argentin avec qui, d'après lui, j'aurais beaucoup d'affinités. Depuis, je me régale en lisant mon gros livre de Mafalda - et oui je me reconnais dans ce personnage au caractère « bold » - et ainsi je continue de penser à mon ami pendant son absence. René a trouvé la meilleure façon qui soit de se rappeler à moi en me faisant sourire à des milliers de kilomètres de distance. Il est comme ça René, généreux et doué pour se faire aimer.
Anne, émule de Mafalda
Voici deux extraits de « Mafalda, l'intégrale » de Quino, publié chez Glénat.
3 commentaires:
Ooooooh, on se croirait dans un Wallace and Gromit, elle est extra cette photo!
J'aime bien Mafalda. Je n'avais pas réalisé que c'était un personnage argentin.
Elle a toujours les mots justes, cette petite:
http://misskindle.files.wordpress.com/2010/01/mafalda_english.jpg
En tant qu'émule de Mafalda, lorsque tu as vu ce banc ton coeur devait battre très fort.
J'adore cette photo. Pour Mafalda...et le pigeon ... et le banc
http://www.bancspublics.net/ ;-))
Quelle attention touchante de René.Un coeur sur 2 pattes , tu en as de la chance de connaitre une telle amitié
C'est vrai la Renarde, j'ai beaucoup de chance de vivre cette amitié de longue date et en plus avec quelqu'un comme lui.
C'est dingue, on se rencontre à vingt ans sans savoir l'importance que l'on aura l'un pour l'autre, un jour la vie passe, et on est toujours là, ensemble. :-)
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