vendredi 2 avril 2010

jeudi 1 avril 2010

mardi 30 mars 2010

Mafalda

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Dans San-Telmo, tout près de notre appartement à Buenos Aires, nulle autre que la célèbre Mafalda, attendant quelqu'un avec qui faire un brin de causette.

Quelques jours après que nous soyons revenus à Montréal, j'ai reçu un mystérieux appel téléphonique. Une dame chez Renaud-Bray a laissé un message sur notre boîte vocale m'informant qu'un colis à mon nom m'attendait à la librairie. J'ai été étonnée, mais étant parfois assez distraite, j'ai pensé que ça pouvait être un livre commandé avant mon départ et que j'aurais oublié. Quand même, ça me chipotait pendant que je me rendais là-bas. C'était comme une surprise ou une énigme. - On peut être parfois terriblement enfantins quand on ne comprend pas tout.

Arrivée à la librairie, je me suis dirigée au comptoir des libraires où le fameux colis devait m'être remis. Une dame souriante m'a dit que c'était un cadeau de quelqu'un parti en voyage. C'était un homme dont elle ne se souvenait plus du nom, mais qui fréquentait régulièrement cette librairie. Quand j'ai sorti du sac l'intégral de Mafalda j'ai tout de suite compris que c'était René, reparti pour Bali la veille, qui me faisait une petite surprise avec ce personnage argentin avec qui, d'après lui, j'aurais beaucoup d'affinités. Depuis, je me régale en lisant mon gros livre de Mafalda - et oui je me reconnais dans ce personnage au caractère « bold » - et ainsi je continue de penser à mon ami pendant son absence. René a trouvé la meilleure façon qui soit de se rappeler à moi en me faisant sourire à des milliers de kilomètres de distance. Il est comme ça René, généreux et doué pour se faire aimer.

Anne, émule de Mafalda

Voici deux extraits de « Mafalda, l'intégrale » de Quino, publié chez Glénat.

lundi 29 mars 2010

dimanche 28 mars 2010