René qui est un homme avisé, adorant visiter les hôtels en avait remarqué un avant notre départ de Buenos Aires situé sur la même rue que notre magnifique appartement. C'est un hôtel qui me plaît vraiment beaucoup, un peu déglingué mais avec beaucoup de cachet. Nous sommes aux anges en ouvrant les grandes portes-fenêtres de notre balcon de fer forgé qui donne sur la rue Bolivar. Les plafonds, comme dans notre ancien appartement, sont d'une hauteur étonnante. Nous revoilà revenus chez nous.
dimanche 7 mars 2010
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2 commentaires:
J'adore la photo du chien. Avec le hors-focus et l'ombre tout autour, on dirait qu'il flotte au-dessus d'un tapis volant un peu hallucinant. D'ailleurs, il a l'air halluciné.
Stéphane, le chien était surtout furieux. C'était une seconde avant qu'il bondisse en jappant après François. Il n'appréciait pas du tout sa caméra.
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