lundi 11 janvier 2010

Une grande brûlée pleine de majesté


La nature époustouflante de cette région extrême prend tous ses droits dès que nous sortons de la ville d'Ushuaïa. Adieu cabanes, tôle ondulée, maisons et bâtiments disparates. Bienvenue les montagnes pelées aux sommets enneigés et les forêts à perte de vue. Rien de tel que de louer une voiture une journée pour découvrir et apprécier la Terre de feu.
Sur la route apparaissent les restes d'une forêt incendiée donnant un aspect tragique et menaçant aux quelques squelettes d'arbres épars qui ont gardé toute leur dignité d'arbre.




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3 commentaires:

tonton a dit…

Époustouflant de beauté tragique. Et quelle finesse dans les gris. Bravo François.

Renée a dit…

Olà ! moi qui vous croyais toujours en Uruguay... il s'en passe des mouvements en quelques jours de votre côté!! VOici un article de la Presse de samedi http://www.cyberpresse.ca/arts/spectacles-et-theatre/201001/09/01-937624-julie-vincent-de-montreal-a-montevideo.php
promis, je revole du temps au sommeil tantôt pour lire et voir. Merci d'être nos yeux !
Renée

Unknown a dit…

saviez-vous qu'il y a une invasion de castors canadiens à la Terre de feu? Trouvez-les!